13 octobre 2011

La 11e Biennale d’Art Contemporain à la Sucrière


Événement désormais incontournable dans la vie culturelle lyonnaise - La Biennale est aujourd’hui pour beaucoup dans le rayonnement international de Lyon !

Les pièces exposées cette année à la Sucrière - sur 7 000 m² -  partent souvent dans tous les sens… après, tout dépend des sensibilités et affinités de chacun... Nous on avoue qu’on est un peu dubitatives voire sceptiques devant certaines œuvres un peu hermétiques !

Des jolis souvenirs : les petits avions d’Ernesto Ballesteros (Vuelos Interior), bourrés de poésie… leur légèreté a pour vocation de « rendre visible l’invisible : le mouvement, le temps, la fragilité de l’instant présent ».


On retient également l'étrange et impressionnante pièce circulaire de Robert Kusmirowski (Stronghold), mettant en scène des centaines de livres au destin inquiétant.


A noter : le lieu. La sucrière, construite dans les années 30, est un ancien entrepôt portuaire. C'est aussi l'un des rares bâtiments qui a été sauvé de l’expansion immobilière fulgurante du quartier de la confluence…

La 11e Biennale de Lyon : Une terrible beauté est née
Du 15 sept. au 31 déc. 2011
[4 lieux : La Sucrière, La Fondation Bullukian, L’Usine T.A.S.E., Le Musée d’Art Contemporain]

Profitez en pour aller manger un morceau chez Francis (on en parle ici) ! C'est juste à coté.

1 commentaire:

Nuke Plant Aerials a dit…

Mouais cette biennale, elle aurait plutôt du s'appeler une terrible mocheté ! Sans déconner, à part les deux installations citées (incroyable usine à autodafé de Kusmirowski), l'ensemble est plutôt éparpillé, incohérent et triste... Les oeuvres sont insensées et souvent prétentieuses. Bidon.
Démonstration implacable du fait que l'art contemporain (celui-ci en tous cas), s'il a trouvé son public et son marché, est encore loin d'avoir trouvé sa maturité ! Seuls les enfants ont l'air de s'amuser - eux ne cherchent pas à comprendre.

Reste à voir ce qu'il y a au MAC..